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Journal intime d'un tueur en série.

Journal intime d'un tueur en série.
  • Le journal intime d'un tueur en série. Rien de réel, mais pourtant... si troublant. N'hésitez pas à me laisser vos commentaires... Si vous aimez cette histoire, faites-en la publicité, si je n'ai pas assez de visite ce blog s'éteindra...
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17 janvier 2006

Une rencontre imprévue...

Cher journal,

Si je ne t'ai pas écrit ces derniers jours, c'est parceque je me suis occupé... Et devine, j'ai passé a l'acte ce samedi! Tout à commencé au matin :

Il était 9h30, je venais de me réveiller quand je vis que mon GSM avait 3 messages en attente. Ils étaient tous de Jason, il voulait m'inviter à un festival métal. Sans hésitation, je le rappellais mais il ne répondait pas, je lui laissais un message sur son répondeur.

- " Salut Jason, c'est Jack, j'ai bien eu tes S.M.S, c'est ok, passe me prendre vers 11h00. Claxonne, je serai prêt."

Comme prévu à 11h30, j'étais dans la salle du concert, il y avait déja énormément de monde. Aprés le passage du premier groupe, je me suis dirigé vers le bar et là, je vis cette serveuse, une charmante dame. Une apparence d'ange, un sourire hypnotisant, son sorps et ses attitudes m'attiraient. Je ne la quittais plus des yeux. Je restais au bar afin d'être là dés qu'elle quitterait son travail. Les heures passaient, les spectateurs me frolaient, je ressentais leurs parfums, leurs chaleurs. J'étais dans un état second, chaque chose infîme prenait une ampleur incroyable. L'un d'entre eux, me proposa un verre alors que je ne le connaissais pas. Je continuais de m'abbreuver de whisky, l'alcool me rendant les idées plus floues.

iam00169583Soudain, la serveuse pris son sac et dit "Au revoir" au patron de la salle. Je me suis levé au même instant et ai décidé de la suivre. Elle repartait a pied, elle déambulait dans les rues sombres de la ville. J'étais à quelques mètres d'elle. Elle ne savait pas que j'étais là, j'étais trés excité à cette idée. Je vis au loin un petit square sombre où elle allait passer, j'accélerais le pas. Je me retrouvais à ses cotés au niveau du square. Elle se retourna sur moi, sans se méfier. Je lui lanca un sourire auquel elle ne répondit pas.
Ma main droite sortait de ma poche en saisissant un foulard que j'avais toujours sur moi. J'attrapais la serveuse par les épaules, en étouffant ses cris à l'aide du foulard. Elle se débattait de toutes ses forces essayant de me frapper avec ses pieds, de me mordre ou simplement de s'enfuir. Mes bras et mes mains se resseraient comme des étaux sur son corps. JE la trainais jusqu'au milieu du square. Un kiosque se trouvait là, abandonné et en ruine. JE montais les quelques marches péniblement pour arriver sur l'estrade du kiosque. Elle ne se débattait plus, le foulard ne laissait passer que quelques pleurs étouffés. Je la regardais de face, en lui souriant. Cet instant était si fort. Aprés avoir noué le foulard autour de sa bouche, je me mis à chercher mon couteau dans ma poche. Je ne le retrouvais plus, j'avais du l'oublier ou cette belle demoiselle avait pu me le faire perdre en se débattant. Je cherchais un moyen d'en finir. Je remarquais que les barrières du square, haute d'un bon mètre vingts, se terminaient pas de jolies pointes métalliques en forme de feuilles.  J'attirais ma victime au prés de la rembarde. j'étais dos à la barrière, elle face à moi. D'un coup de poing violent dans l'abdomen, je me suis décalé vers sa gauche afin de poursuivre son mouvement. Sous la douleur et sous le choc son corp se plis d'un réflexe vers l'avant rapprochant sa tête de la barrière. Etant sur son flanc, j'ai juste eu besoin de pousser de toute mes forces son crâne sur ces pointes asserées. Le sang coulait sur le square. ELle était là, la tête figée dans cette barre. Je souriais, j'avais accompli une punition... Elle n'avait pourtant rien fait de grave... si ce n'est que de croiser mon chemin...

TRés cher journal, cet acte m'a permis de me sentir mieux pour ces quelques jours, je crains de devoir bientot recommencer...

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13 janvier 2006

Fin de soirée...

23H27...
Le sommeil s'empare de moi aprés une journée difficile. Aujourd'hui, j'ai été me ballader dans le centre commercial de ma ville. Je n'avais pas l'intention d'acheter quoi que ce soit, mais avez-vous déjà remarqué? Un centre commercial est une société en miniature. Chaque personnage tiens son rôle, et subit ses instincts primaires de consomation. Ils sont pitoyables ces maris qui n'acceptent pas le temps que leurs femmes passent dans les boutiques. Et ceux qui n'arrivents à tenir leurs enfants, les laissant courrir, crier, pleurer à tout va au milieu des autres. Cela me rend fou, je ne supporte pas de voir ce que l'évolution à fait de l'espèce humaine. Une machine pré-programmée à la consomation. Cette ambiance me donne l'envie de punir d'ici peu, il est possible que demain soit un bon jour pour repasser à l'acte.

J'ai croisé le regard de plusieurs victimes potentielles cet aprés-midi. L'une était une femme qui devait avoit 24-25 ans. Le genre de femme complètement artificielle, laissant apparaître ses jambes masquées de bas noirs. Affichant sa peau bronzée, son maquillage industriel, ses seins siliconés et sa démarche de pétasse. J'aurais aimé lui faire regretter de vouloir tant modifier temporairement ce que la nature à fait d'elle. Je l'observais, assis sur un banc. Les diffèrents supplices que j'aurais pu lui faire subir envahissaient mon esprit. QU'aurais-je utilisé comme arme cette fois? Un couteau, une corde, une chaine, un marteau, une batte, mes poings ou encore de l'arsenic? Il y avait tant de possibilité de la punir. Soudain, l'envie me pris de voir si ma victime aurait pu tomber facilement dans mon piège. Elle quittait la vitrine qu'elle regardait admirativement quand je lui adressa :
- "Bonjour, excusez-moi. Je me présente Ygor Desnald, je suis créateur d'une ligne de vêtement pour une grande firme parisienne et je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer votre élégance. Vous avez un physique trés agréable et vous pourriez être un modèle interessant pour notre marque. Est-ce que cela pourrait vous intéresser?"
Elle était surprise de mon intervention, elle me regardait de bas en haut. Elle s'arrêtait par moment sur mes diffèrents piercings, sur mon pantalon baggy. Je la regardais en souriant, je ne voulais pas l'effrayer.
- "Ecoutez, je ne peux pas vous répondre comme cela, en quoi cela consiste exactement?"
Je sentais une certaine fiereté monter en elle. Elle avait mordu à l'hameçon, je pouvais désormais l'emmener où je le voulais. Dans un endroit isolé, où le crime serait discret. Mais j'ai mes habitudes, je préfére l'adrénaline des endroit surexposé.
- "Puis-je vous inviter à prendre un verre afin que nous en discutions?"
- "Oui, mais juste une demie-heure. Je dois reprendre mon train ensuite."
Son coté égo-centrique était entrain de la perdre, par chance tout ceci n'était qu'un test.

Arrivé dans la taverne, nous nous installions à une table du bout de la salle. Elle s'assit face à moi et me regardait en souriant. Je commençais à trouver ce jeu trés intéressant, j'avais le contrôle. Je pouvais décider de la laisser en vie ou bien de la punir. J'étais le maitre de son destin.
- "Mais, je ne connais même pas votre nom. Comment vous prénommez-vous demoiselle?"
- "Mon nom est Natasha"
Mon portable se mit à sonner, ce n'était qu'un sms mais je fit semblant de décrocher.
-" Oui? ........ Ah oui! Salut, tu vas bien?....... Oui, moi ca va, merci..... Quoi? Maintenant?.... Ca ne peut vraiment pas attendre?... Bon, trés bien. J'arrive!"
Toute cette conversation était purement inventée, je venais de parler dans le vide. Cette mascarade allait me permettre de quitter "Miss Poufiasse". Elle commencait a devenir trop ennuyante, trop artificielle...
-"Natasha, je suis désolé, mais je suis rappellé par le boulot, peut-être peux tu me laisser ton numéro de téléphone, je pourrai te rappeller plus tard comme ça."
- "Oui sans problème, voila ma carte, appelle moi dés que tu peux, j'ai hâte d'en savoir un peu plus sur ta proposition."
Je quittais la table avec un sourire narquois. Elle ne se rendait pas compte de qui j'étais. Son envie de perfection l'avait poussée a accepter l'invitation d'un tueur en série tel que moi. Dieu que la nature humaine est faible.

61542_1130830368_smallJe rentrais chez moi avec la sensation d'avoir réussi ma journée, mais les envies de violence n'étaient pas satisfaites. Pour me calmer, je me suis préparé un bain chaud, un fond de musique symphonique et un bon verre de vodka. Et je suis arrivé ici, relaxé mais épuisé. Toutes ces images mentales m'ont fatigué toute la journée. Demain sera un autre jour. Demain, je ne m'arreterai pas aux paroles...

Peut-être que je rapellerai cette charmante Natasha...

A bientot cher journal

13 janvier 2006

Vendredi 13 Janvier 2006

totalIl est sept heures, je viens de me réveiller. Comme chaque nuit, mon sommeil a été perturbé par d'étrange rêve que je fait depuis si longtemps. Je ne comprend pas ce qu'ils signifient. Dans ces rêves, je suis dans une forêt et tout autour de moi il y a du sang, plein de sang. Je me trouve debout dans une mare rouge, le visage et les mains remplient de sang. J'arbore un sourire étrange mais je dégage une telle puissance.
Je fait ce même rêve toutes les nuits. Cela m'inquiète...

Mais je ne me suis pas présenté. Je m'appelle Jack Murray. J'ai 25 ans et je vis dans une grande ville de Belgique. J'habite un petit appartement situé au 6ème étage. La vue est surprenante, je peux voir d'ici toutes ces personnes marchant dans la rue, au pas pressé, ces voitures débouchant de partout à toute allure. D'ici je peux admirer la "civilisation". J'ai horreur de cette société, j'ai horreur de la norme.

Non, ceci n'est pas suffisant pour que vous puissiez me connaître. Allez on va revenir un peu en arrière. Mon passé, mon enfance, mon adolescence et mes premières crises...

J'ai passé mon enfance au sein d'une famille soudée. Tout allait bien, pas de problèmes particuliers. A l'école, j'étais plutôt bon élève. Je vivais dans une grande maison en campagne, mon meilleur ami à cette époque était imaginaire. Je m'imaginais souvent être entrain de jouer avec lui, alors que j'étais seul au bout de mon jardin. Mes parents ne s'en inquiètaient pas de trop. J'étais jeune et la campagne m'éloignait des enfants de mon âge. C'était une réaction prévisible, puis beaucoup d'enfant ont durant une période, un ami imaginaire. Cet ami s'appellait Cage, je me rappelle que je ne me rendais pas toujours compte qu'il n'existait pas.

Plus tard, durant mon adolescence, j'ai rencontré pas mal de gens au lycée où je m'étais inscrit. Les personnes m'aimaient bien. J'adorais délirer en classe pour faire marrer les autres, mais je ne délaissais pas mes études pour autant. Mes premiers amours se sont également créés à cette époque. J'avais pas mal de succés auprés des filles de mon âge. Il est vrai que je tentais de garder un mystère autour de moi, car je savais que cela plaisait à ces dames. Je ne rencontrais aucun problème sérieux jusqu'au jour où une envie étrange me traversa l'esprit : punir un être humain. Je ne me doutais pas de l'impact que cette simple pensée allait prendre. Je ne comprenais pas, je pensais que j'éprouvais simplement de la rancune pour l'un où l'autre de mes amis qui m'auraient joué un mauvais tour. Je ne m'inquiétais pas pour cette pensée, les jours passaient sans rien d'anormal. Mais cette pensée devenait de plus en plus omniprésente.

Un jour, un nouvel éléve arriva dans mon lycée. Je devais avoir 15 ans à l'époque. Il n'était pas dans ma classe mais partageait le même étage que moi. Au bout de quelques jours aprés son arrivée, je me suis rendu compte que ses regards posés sur moi était remplis de haine. Je prenais un malin plaisir à le dévisager en souriant. Mes amis me disaient de me calmer, que ce petit jeu risquait de mal se terminer. Il est vrai que je ne savais pas de quoi était capable ce "nouveau" mais je m'en foutais et cette envie de punir persistait et prenait de l'ampleur.
Un jour, alors que j'avançais dans un couloir en direction de ma classe. Je reçu un coup dans le dos me poussant, pendant que mon pied était retenu par quelque chose. Par chance, j'arrivais a reprendre mon équilibre. Je tournais le regard afin de voir qui était l'auteur de cette blague idiote. Parmis les élèves attendant de rentrer en classe, je pu voir le visage de Sebby, le nouveau. Il me regardait fièrement avec un sourire narquois. Je pris la décision de ne pas réagir à cette attaque, je préférais l'ignorer. Mais cela ne lui suffisait pas, il me lanca devant tout le monde :
- "Hey Jack! T'es qu'un bouffon, ta vie va devenir un enfer ici!"
Cette phrase me fit sourire, et le saluant d'un clin d'oeil je continuais ma route pour entrer en classe.

Durant les deux heures de classe qu'il me restait à faire, l'idée de punir quelqu'un ne me quittait pas. Une rage et un désir de violence se mélangeaient en moi. Ma décision était prise, ce Sebby allait payer.

La fin des cours fut marquée par la traditionnelle sonnerie. Je pris mon sac à tout vitesse, et me mis à courrir vers la sortie, bien décidé d'attendre Sebby afin de le punir. J'étais le premier sorti, le parc était encore vide. Quelques élèves arrivaient au compte goutte. Puis, de loin, j'apperçu celui qui aura été ma première victime. J'étais adossé au mur, il passa devant moi sans même me voir. Je l'attrapa par le col de sa veste et le tira jusqu'a terre. Une fois à terre, je m'agenoullais au dessus de lui, et là un énorme flash blanc m'apparu dans les yeux, accompagné d'une douleur vive dans la tête et d'une injectio de sang dans les yeux. Ma seule motivation à ce moment était la rage.
- "Alors mon ami? C'est qui le bouffon cette fois? Devine qui viens de rencontrer l'enfer?"
Ces paroles sortaient de moi avec une telle rage et une telle assurance, personne n'osait m'arrêter. Ma dernière parole a été :
- "SOUFFRE!!!"
Et mes poings se mettaient à cogner de toutes mes forces sur Sebby. Je sentais ses arcades, son nez, ses dents se briser sous mes coups. J'y prenais un plaisir fou. Le sang giclait, mes poings en étaient recouvert. Je ne pouvais m'arrêter. Un ami sauta alors sur mon dos et me plaqua au sol en hurlant :
- "Mais tu es fou, arrête tu vas le tuer! Bordel!"
Je ne répondais pas, je restais allongé le sourire aux lèvres. Je venais d'infliger ma première punition.

Evidemment, je fut renvoyé de cette école et du en trouver une autre. Tout était diffèrent pour moi, la moindre occasion de me battre était un immense moment de bonheur. Et cela continue encore aujourd'hui. J'aime cette violence quand elle permet de venger ou de corriger quelqu'un. Je ne cherche pas la violence inutile.

Cher journal, je te laisse ici...
Plus d'inspiration...
A bientôt...

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